黃永玉先生(1924~2023) 紀念:包括 《見笑集》。 "《沿著塞納河到翡冷翠》的義大利文版的發表會 (羅馬)《沿著塞納河到翡冷翠》的義大利文版的發表會 (羅馬)".......
https://www.facebook.com/hanching.chung/videos/647142250279985
Maverick and versatile Chinese artist, novelist and poet Huang Yongyu/ 黄永玉 (b. 1924-) created several dozens of owls as self-portrait for social satires and critique since 1973 (The owl, with its one eye open and the other closed). Interested readers can read Eugene Wang's excellent essay on the political semiotics of the owl: "The Winking Owl: Visual Effect and Its Art Historical Thick Description" Critical Inquiry 26 (Spring 2000), pp. 435-73
http://projects.iq.harvard.edu/files/eaah/files/winkingowl.pdf
旁聽兩次意大利盛事:黃永玉(1924年生~) 《沿著塞納河到翡冷翠》的義大利文版的發表會 (羅馬);北野武 (Takeshi Kitano, 1947~) 受加利略文化獎(le prix Galileo, 翡冷翠) 《北野武自述:無聊的人生,我死也不要第十七話 我心中的非洲 》273~284
https://www.facebook.com/hanching.chung/videos/1137375880340671
楊凡 《流金》2015。《三月杜鵑紅》黃永玉(1924年生~)《沿著塞納河到翡冷翠》的義大利文版的發表會
楊凡 《流金》描述
國際書號:9780199425488
《流金》一書,從許鞍華的蕭紅《黃金時代》開始,走過昔日中華戲曲的大戲棚,看盡「任白傳奇」的姹紫嫣紅,電懋邵氏李麗華尤敏的爭研鬥麗,回顧李翰祥的風花雪月,直至火燒圓明園,邵逸夫陸運濤二位爵士,過眼雲煙。再步入老民國與台灣的「休戀逝水」,「青衣祭酒」、「如花美眷」、「似水流年」尚有「山桃紅」,由一代青衣宗師程硯秋帶領着顧正秋言慧珠白雲張火丁迴盪在《鎖麟囊》的「春秋亭外風雨暴」,還有山口淑子李香蘭,搭配海老蔵玉三郎,偶爾出現寶塚歌舞美男女......。終於經過大時代「六四」的洗禮,來到當下「雨傘革命」,最後讓周潤發林青霞黃永玉鍾楚紅,為這流金的歲月,劃上一個句號。
楊凡以他一貫的手法,配合圖片,寫出古今人物與逝水流年的簡潔情感。將古蒼梧(古兆申)在《浮花》一書的題跋:「浮花浪蕊:日據上海/新浪巴黎/60.70好萊塢/殖民香港,全收眼底。」數言,終極結束。
作者簡介
楊凡,原籍湖南衡山,成長於中、港、台三地,遊學於歐美,自幼立志追尋藝術,曾從事美術、音樂、舞蹈、攝影及電影等工作。攝影作品有《少年遊》《西藏行》及《美麗傳奇》等。電影作品包括《玫瑰的故事》《流金歲月》《三画二郎情》《遊園驚夢》《桃色》《淚王子》等。著作有《楊凡時間》《花樂月眠》《楊凡電影時間》 《浮花》及《流金》。
重翻/讀2022 楊凡 《流金》香港:牛津大學出版社,2015。
可能是香港《壹週刊》的專欄結集。多戲劇或電影的名角之故事。
印象深的是他小時 (約1964年)住台中大度山 (楊凡的寫法)附近村,利用東海圖書館讀香港的刊物.......
《三月杜鵑紅》是寫黃永玉(1924年生~) 《沿著塞納河到翡冷翠》的義大利文版的發表會 (羅馬)的顧事.......
2019.3.5
楊凡 《流金》2015,篇篇有內容、照片,充實。
最使人惆悵的是在香港的佔中運動時所寫的〈六四〉。悲哀國運。
從【人民就是上帝】到一路一帶。
**** 北野武 (Takeshi Kitano, 1947~) 受加利略文化獎(le prix Galileo, 翡冷翠) 《北野武自述:無聊的人生,我死也不要第十七話 我心中的非洲 》273~284
北野武 (Takeshi Kitano, 1947~) 受加利略文化獎(le prix Galileo,翡冷翠)
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北野武自述:無聊的人生,我死也不要 第十七話 我心中的非洲
作者: (日)北野武
出版社:上海人民出版社
出版日期:2015/08/01
語言:簡體中文
French版 作者 Takeshi KITANO (Author), Michel TEMMAN (Author)
Takeshi Kitano a écrit sa toute première autobiographie à paraître hors des frontières du Japon, au terme de plusieurs années d’entretiens avec le journaliste français Michel Temman. Comment être à la fois un showman célèbre et un cinéaste exigeant ? Kitano se livre sans concessions, à la manière d'un ami qui se raconte autour d'une table, devant une bouteille de bon vin – une de ses passions. Kitano n'en revient pas de sa « destinée », lui l'autodidacte qui a dû interrompre l'université, lui qui n'a jamais renié ni oublié ses origines modestes, comme en témoigne, encore aujourd'hui, un besoin de reconnaissance jamais assouvi. Alors, il s'épanche sur sa jeunesse dans le Japon de l'après-guerre : une enfance interdite, une famille nombreuse entassée dans la misère d'un quartier populaire, la passion pour les sciences, ses rêves d'explorateur et sa fascination pour le commandant Cousteau, les études qu'il faut poursuivre, malgré la pauvreté, grâce à sa mère, à l'éducation stricte. Le père, enfin. Cet homme introverti mais qui, porté sur la boisson, pouvait avoir des accès de colère violente. Kitano confie ses regrets, les occasions manquées. « Je n’adressais jamais la parole à mon père. Lui ne me disait jamais rien. Je me souviens avoir joué une seule fois avec lui, sur cette plage d’Enoshima où il m’avait emmené voir la mer ». Au départ de sa gloire, les Two Beat – un duo comique spécialisé dans le sketch provocateur. Beat Takeshi se distingue en prenant des risques. Il se moque des marginaux, des déclassés, de la mafia japonaise. Les producteurs censurent, l'applaudimètre l'encense. Le succès est immédiat, et le duo – toujours actif aujourd’hui – assure l’avenir et la popularité de Kitano. Si la télévision est un purgatoire, le cinéma est sa rédemption. A Beat Takeshi revient l'art de se compromettre en riant ; à Takeshi Kitano, celui de la création artistique. Cette révélation lui vient en 1983, pendant le tournage de Furyo, un des chefs d'oeuvre de Nagisa Oshima. Kitano, alors âgé de 36 ans, y joue le troisième rôle ; c’est pur hasard, dit-il lui-même, s’il est ainsi venu au cinéma. Une esthétique de la violence, une musique envoûtante, des antihéros solitaires, impassibles et torturés, deviennent ses marques de fabrique. Puis vient le succès de Sonatine en 1993 – salué par la critique surtout à l'étranger. Épuisé, surchargé de travail, écrasé par le sentiment de ne pas être reconnu à sa juste valeur, le cinéaste connaît alors un passage à vide et voit la mort en face, suite à un accident de la route. Une envie d'en finir ? Certains le pensent. Il revient, plus ambitieux que jamais. Ses nouveaux films sont plus intimistes, réfléchis. C'est l'heure de la maturité, et la consécration : ses films sont régulièrement sélectionnées dans les plus grands festivals de cinéma, Cannes bien sûr mais aussi la Mostra de Venise, qui lui décerne un Lion d'or pour Hana-bi en 1997 et un Lion d'argent pour Zatoïchi en 2003. Pour la première fois, il révèle ici son engagement humanitaire en Afrique autant que sa vision pessimiste du Japon, colonisé par l’Amérique et acculturé. Depuis son accident de la route, Kitano s'est créé une vision très personnelle de la vie, à mi-chemin entre acharnement au travail, bouddhisme zen et épicurisme. Il reprend la peinture, qui joue un rôle prépondérant dans sa façon de concevoir le cinéma. Son autobiographie est aussi un « Ce que je crois » d’une étonnante vitalité.
Le prix Galilée, de son nom complet prix littéraire Galilée pour la vulgarisation (en italien Premio letterario Galileo per la divulgazione scientifica) est un prix annuel institué en 2007 par la commune de Padoue en honneur de Galilée.
伽利略獎的全名是“伽利略文學普及獎”(意大利語:Premio letterario Galileo per la divulgazione sciencea),是帕多瓦市政府於 2007 年為紀念伽利略而設立的年度獎項。
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